Resortlife : Sadame no Sentaku
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Déjouer son sort a des conséquences.
 
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 Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]

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Cholan Kôzuki

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MessageSujet: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyDim 10 Juin - 20:03

Ah quel belle journée ! Enfin autant qu'une journée sur une îles prisons peut-être belle. Le soleil était à son zenith, il faisait chaud, très très chaud, qu'elle imbécile le vieux d'avoir installé une îles dans un endroits où il règne une chaleur digne de l'enfer ... si je le vois je lui fout une pêche.

Edit du vieux : On est censés être au pôle nord mon coco !

Bien maintenant que j'étais dehors sous ce magnifique ciel bleu et ce soleil de plomb, je ne pouvais que réfléchir à un endroits où je pourrais me rafraîchir. C'est vrai que je n'étais pas très habillé pourtant, je ne portait qu'un t-shirt violet qui allait parfaitement au mauve de mes yeux et un pantalon en toile noir. Mes mains était occupé avec ma lyre de couleur violette elle aussi et qui ne me quitte jamais, pendant que je réfléchissais tout en marchant, mes doigts entamait instinctivement une mélodie, une mélodie que j'avais déjà entendu, mais où ... peut-être ... mais oui le centre-commercial ! La bas je pourrais acheter quelque chose pour refroidir mon corps qui allait finir par fondre ou tout simplement s'évaporé dans la nature chose que ... je n’apprécierais que moyennement. Voila comment et pourquoi je me suis retrouver une bonne dizaine de minute plus tard dans les allées du centre-commercial.

J'ai poussé un long soupir à mon entré dans le bâtiment, que sois bâtiment l'air conditionner qu'on construits cette bandes d'imbécile. Bien maintenant toujours en faisant sonner les doux accord d'une mélodie je me dirigeais vers une petite boutique qui proposais des granités, vous s'avez ces morceaux de glaces pilées. Hum quel parfum allais-je goûtez cette fois, le premier granité de l'années c'est important, mais je doute que vous arriviez à me comprendre. Aller mangue-citron ce sera parfait. Je paye ma nourriture et commence à savourez les premières boucher qui fonde doucement dans ma bouche et me refroidisse même le cerveau .... ahh quel plaisir, le problème c'est qu'emporter par "le plaisir" je n'ai pas vu la jeune femme devant moi et que je lui ai rentré dedans et bien sur emporter par mon propre élan j'ai renverser un type en blouse blanche derrière moi ... mais quels imbécile pourquoi ils étaient dans mon chemin, rhalalal ce sont bien tous des imbéciles dans cette îles pourris ... s'ils avaient abîmé ma lyre, je vous jure que leur peau seraient acrocher au mur de chez moi.

-Hoya .... mon granité.
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Akuma Kenta

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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyDim 10 Juin - 22:29

Voila une belle journée qui se passait, pour une fois tout allais pour le mieux. Le soleil était à son plus haut point, et la chaleur qui régnait en ces lieux suffisait à allumer mes cigarettes sans l'aide d'un briquet. C'était bien beau tout sa mais la chaleur sa donne soif, et se rafraîchir ne serait pas de refus.

Le mieux c'était que j'aille au centre commercial, là bas il y a a l’embarras du choix. Je me mis donc en route pour ce dis bâtiments, avec pour occupation mes petits scalpels que je ne quitte jamais. Avez vous déjà essayé d'aller quelque par en jonglant avec des objets tranchants ? Et ben je vous garantis que c'est pas de tout repos. La pensée d'une boisson fraiche en ma possession me fis accélérer sans que je m'en aperçoive sur le coup. Le lieu dit enfin en vu, il ne restais que quelques mètres à parcourir avant de siroter un petit jus et de refroidir mon corps aussi brulant que la braise.

Enfin entré, la route parait bien longue quand la chaleur vous prends de court. Maintenant, l'objectif était de trouver sois une boissons fraiche, sois une bonne glace, étant donné que la glace pourrait très vite fondre et donc taché ma belle blouse blanche, moi choix était vite régler. Je m’orientais donc vers le plus proche endroit avec pour produit de quoi s'hydrater et se rafraichir. Le tout était maintenant de retrouver l'argent pour payer ces liquides. Je me fis moi même une fouille au corps pour essayer de trouver l'argent que j'avais pris le matin dans une de mes vestes. Ah, sa y est, les pièces étaient réfugiées dans la poche intérieurs de ma blouse. Une fois la boisson achetée, quitte à être au centre commercial, autant regarder se qu'il y a de beau dans les magasins. Mais une journée a toujours des surprises en réserve, il faillait qu'un drôle d’énergumène se promenant avec une lyre, percute une femme pour ensuite me percuter a mon tour. Il a de la chance que je jouais pas avec mes scalpels pour le coup.

- Hey...ma boisson
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Shirokaz Kôzuki

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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyLun 11 Juin - 1:05

Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas eu un bon soleil sur cette île. D'habitude, il fait toujours froid à en congeler un pingouin. Sûrement un des effets du réchauffement climatique qu'on étudie tant au lycée. Bref. Ce dimanche après-midi, je ne savais pas trop quoi faire. Je ne savais pas où joindre mon frère et je venais de sortir de la base militaire. J'avais même fini tous mes devoirs, chose très rare. Alors je sortis me balader et j'eus donc l'idée d'aller au centre commercial car c'était l'endroit le plus proche à visiter. J'avais bien envie d'un coca, ma petite drogue préférée. Je me dirigeai donc vers un stand où je me pris une bouteille d'un demi-litre de coca. Je pris une paille au comptoir puis m'en allait après avoir déposé l'argent pour le coca.

Je me mis à marcher et à tourner en rond dans tous le centre commercial, sans aucune destination précise. Je m'ennuyais et j'hésitais vraiment à retourner à la base. J'avais peur de me lasser de mon activité favorite, qui était le tir de précision. J'avais eu ma dose pour aujourd'hui. Je repris donc mon portable et réessayai d'appeler mon frangin. Rien... Boite vocale. D'ailleurs, je n'avais jamais compris d'où venait ce nom de boite vocale. Une boite, a box... Là où on contient des objets en temps normal... Vocale. Genre, qui parle quoi. Et en fait la vraie boite vocale ne répondait qu'à la moitié de ce que ça voulait vraiment dire. Ce n'était pas une boite, c'était un truc immatériel. Abstrait. Non concret. Mais qui parlait ! Et ça disait toujours la même chose. "Vous êtes sur la boite vocale...". NON, je suis sur le sol ! Quelque chose vint me tirer de mon égarement le plus total. C'était une jeune fille qui m'était tombée dessus, parce qu'un type aux cheveux bleus l'avait bousculé, et je faillis me prendre un autre mec dans la tronche. Un gars en blouse blanche, également bousculé par le type aux cheveux bleus qui s'avérait être Cholan. Moi, je n'avais rien, c'était ma bouteille qu'avait subit.

- Hé, mon coca aussi a payé, vous plaignez pas les gars.
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Katherine Andersen
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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyLun 11 Juin - 17:16

Jour #1 : Centre Commercial
Episode 1 « I'm not crazy 'cause I take the right pills everyday »

Les gouttes de sueurs perlaient mon front, moite à cause de la chaleur malsaine qui régnait sur toute l'île. Arf, j'étais habituée à pire : des déserts secs du Sahara, à la chaleur humide et lourde des émeraudes forets tropicales. J'avais touché à tout, goûté à tout et mon ancienne vie pleine de risques et d'aventures commençait à sérieusement me manquer, moi, la creuse Katherine Andersen ... L'idée de buter quelques civils du haut d'un immeuble me démangeait la main, voir tout le bras. Une personne normalement constituée, se serait enfermée dans sa chambre armée d'une cuillère, un gros gâteau au chocolat sur les genoux et aurait noyé ses peines en matant un film à l'eau de rose, jusqu'à l'écoeurement et ainsi terminer sa soirée la tête dans les toilettes à vomir tous les lipides ingurgités en si peu de temps par l'estomac.

Ah vrai dire, cela ne servirait à rien de dire que ce n'est pas mon cas, car c'est une évidence : je n'ai jamais de regrets. Après tout, si j'en avais, je serais déjà internée dans le 36.

Tout ça pour dire que j'avais troqué mon Sniper pour un italien Beratta 92 afin de passer inaperçus parmi ces insectes, ces petits lapins aveugles et bornés, ne se rendant même pas compte qu'un loup s'était faufilé par eux.

Mes boots cirées grinçaient sur le carrelage lisse du centre commercial et autour de moi, j'arrivais à entendre les diverses conversations de la population à propos de fringues, d'histoires de cœurs et autres inutiles blabla que la race humaine avait pour habitude de déblatérer à toutes heures de la journée. Et après l'on s'étonnait de mon asociabilité ... leurs pathétiques existences ne m'intéressaient point. Monstre, misanthrope, marginale, rebelle, sorcière, peu m'importe quels surnoms l'on m'attribuait dans mon dos, cela m'était égale. Qu'elles aillent tous se faire foutre, ces pâles photocopies toutes chier par la société.

Un magasin semblait étrangement attirer mon attention : son panneau lumineux nauséeusement rose clignotait au rythme d'une musique pop que quelques fillettes chantaient à pleine voix les paroles, mêlées de "Nanana" frénétiques lorsqu'un mot leur échappait. Certaines d'entre elles me dévisageaient la bouche légèrement entrouverte et il ne leur suffit qu'un regard de ma part pour leur faire baisser les yeux.

Alors que je passais en détournant la tête de ces couleurs trop vives pour ma vue à la limite daltonienne, habituée aux couleurs sombres et tristes de mon quotidien terne, je pénètre dans une pharmacie pour y chercher ce pourquoi je m'étais déplacée jusque ici, affrontant ainsi le monde terriblement joyeux. Je n'ouvre pas la bouche, sors une vielle boite de médoc de ma poche, la tendant à une pharmacienne plutôt pas mal dans son genre, mais trop bimbo pour ma personne. En gros, elle paraissait être le genre de femme à vouloir être chouchoutée, aimée, adorée, vénérée, exetera exetera .. Le genre de fille mortellement ennuyeuse quoi. Elle me fait un non de la tête en dressant un discours sur le fait que certaines substances ne s'achetaient pas comme des sucreries dans les boulangeries, que souvent il était nécessaire de se procurer l'ordonnance d'un médecin pour cela ... Je lui tends un bout de papier à moitié déchiré de la poche arrière de mon slim. Elle l'attrape du bout du pouce/index et le lit furtivement, en me jetant entre certaines lignes un regard assassin, me reprochant de ne pas lui avoir tendu plus tôt. Elle se remet à parler mais je ne fais pas attention à ce qu'elle dit, tout ce que je veux c'est ma boite de pilules pour enfin retourner me morfondre dans mon coin comme un ermite. Je lève la tête vers elle et la dévisage. A ma merci, complètement nue sous mon regard pénétrant, elle baisse la tête exactement comme les gamines quelques minutes plus tôt et se dirige vers l'arrière boutique.

Je me retiens de hurler un "Hallelujah" et m'arrête devant une vitrine d'une telle propreté que j'arrivais à distinguer mon reflet. Mon image, pas celle de Keyla, Anais, Charlie, Caroline ou d'autres des nombreuses couvertures que j'ai adoptés ces dernières années, celle de Katherine Andersen. Les instants où je pouvais être moi-même étaient rares et plutôt déroutant. Bloody Rabbit n'était plus là, je l'ai abandonnée sur le quai lorsque j'ai embarquée pour ce gros cailloux. Je sors le sachet kraft de ma poche que l'autre trisote de pharmacienne avait mis trois plombes à me donner et en sors la boite de médoc pour en avaler quelques-uns d'une bouchée. Un homme me toise de loin, le regard plein de reproche auquel je répondis poliment en montrant le majeur.

Je ne sais pas si c'est la bande de jeunes qui fumaient à quelques mètres de moi qui me donnaient l'envie d'une bonne cigarette, mais je voulais vraiment sentir le tabac niquer chaque parcelle de mes poumons. Je cherchais du regard un store suffisamment utile dans ce bas monde pour vendre des clopes. Une petite boutique au bout du couloir semblait vendre des glaces et autres boissons ... ainsi que des cigarettes, dont je pouvais apercevoir l'emballage rayonner sous le soleil qui traversait les vitres, derrière le caissier. Je m'y approchais en quelques pas et payait rapidement ma marchandise avant de m'éloigner.

C'était probablement les effets des narcotiques que je venais d'ingurgiter qui avait complètement engourdis ma sensibilité, car je me retrouvais bousculée sur un jeune homme aux yeux d'une agréable couleur miel. Mes réflexes quelques peu ralentis certes, me permettaient tout de même de me rattraper sur mes jambes, sans dommage collatéraux .. mis à part, mon paquet de cigarette complètement trempé par le coca du petit angélus. Apparemment, un autre homme en blouse blanche avait, lui aussi, été touché ... par un gamin visiblement du même âge que moi aux yeux mauves. Je lui lançais le regard le plus noir que je n'avais jamais lancé auparavant. Il devrait se sentir chanceux car j'avais tué pour cinquante fois moins grave que ça. Personne ne touche à mes cigarettes. J'avais une main instinctive sous mon T-shirt pour choper mon arme, mais je n'allais finalement pas en avoir besoin ... à part si le schtroumpf aux cheveux bleus refusait de me rembourser mon paquet.

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Cholan Kôzuki

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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyLun 11 Juin - 20:57

La culbute à été dure, vraiment dure ... enfin pour mon granité, moi ça va, je n'ai rien du tout. Les autres, le type en blouse blanche, celle qui est entrée dans mon chemin, je m'en fiche totalement. A l’exception de la dernière personne. Mon cher frère. Je me releva très vite et me déplaça pour me positionner entre les autres gens et Shirokaz. J'avais remarquer le mouvement de la femme, porter la main à son t-shirt, les probabilité étaient fortes qu'une arme y soit dissimulée. Je n'avais pas pour projet de la tuer, même si elle c'était mis dans mon chemin, mais si jamais elle tirais ici et risquait de blesser mon cher frère, elle en payerais le prix fort, très fort. Du coin de l'oeil je surveillais aussi le type en blouse, blanche, il avait une allure étrange. Très étrange même que ce sois ses lunettes assez grosse et qui renvoyait la lumière. Où encore sa blouse qui semblait avoir fait un tour dans une morgue du coin. Enfin le plus indéniable et le plus surprenant dans cette personne était la visse qu'il avait coincer dans la tête. Étais-ce une vrai ou bien juste un accessoire destiner à ce faire remarquer ? Peut importe, un étrange sourire éclaira mon visage.
J'avais très envie de me battre contre ce type, j'avais le pressentiment que le combat serais très intéressant. Cela était rare d'habitude je ne m'interressait pas au imbécile peuplant cette île et qui tombaient raide mort juste à cause de la malchance de m'avoir rencontré quand je m'ennuyais ... il avait l'air différent.

Bien qu'un combat contre lui avait l'air irrésistible, la petite voix sur la banquette arrière de mon esprit me dit "Protège Shiro". Oui ... c'était ce que je devait faire, ma priorité, j'avais prêter serment et le meilleur moyens de le faire était d’empêcher une bataille ici ... enfin pour l'instant.

-Hoya hoya ... bon je vais régler sa ...

Je me dirigea vers la vendeuse tout en ramassant une pierre de forme rectangulaire et plate, je voulais bien leur repayer leur encas pour éviter le combat, mais hors de question que je dépense un seul sous de ma poche. Une tout autre musique naquit de ma lyre, une musique plus envoûtante, dont les notes pourraient ne pas appartenir au monde humains.

- Kyoku Sakkaku

Ma première technique d'Illusions, vous vous demander pourquoi j'ai besoin d'une illusions maintenant ? La réponse est simple pourtant ... aller dite moi que vous avez fait la relation ? Pas besoin d'être Sherlock Holmes pour le deviner.

-Bien nous avons eu un problème et nous avons fait tomber nos achat, remettez nous sa s'il vous plait ...

La vendeuse fait oui de la tête et me tendit tout les articles, me donnant la note en même temps, moi je lui tendit le caillou qu'elle mis dans sa caisse tout en me rendant la monnaie ... et oui grâce à mon illusion elle à pris le caillou pour un gros billet héhé ... je me dirigeais vers les autres leur tendant leur boissons tout en continuant à avancer.

-Dépêcher vous, mon petit tour ne durera que 5 minute, ont ferraient mieux de sortir d'ici.

Tout en disant sa, je me dirigeais vers la sortis croisant le regard de l'homme à la blouse. Vivement que je puisse l'affronté. Je n'attendais que sa, mais Shiro passait avant tout.

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Akuma Kenta

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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyLun 11 Juin - 21:31

Rien ne se passe jamais comme prévu quand je veux faire quelque chose, pas très pratique. Le résultat de se choc a couté les encas de plusieurs personnes ainsi que le mien. Heureusement personne n'avais l'air blessé, c'est déjà sa, et ma blouse ne fut pas tacher par ma boisson. A vu d’œil on était quatre à être entré en collision, pas mal pour un début, j’espère juste que personne n'est du genre a chercher la baston sinon sa pourrait vite dégénérer et je ne suis pas venu pour me battre. Je me releva avec une légère douleurs au coccis mais rien de bien méchant. Mais en parlant de baston, le jeune homme qui m'a percuté avait un regard de bagarreur, je préférais rester sur mes gardes par précaution. En tout cas il avait l'air d'un adversaire valeureux, un combat pour se trouver intéressant si cette personne était aussi combative que son regard. J'ai pus remarquer que sa priorité était de veiller sur le deuxième jeune homme encore assis sur le sol.

Bon, maintenant j'aimerai récupérer une autre boisson du coup, mais sans argent sa va être difficile, car j'ai dépensé le peu que j'avais dans la première.
L'homme au cheveux bleu disait pouvoir régler sa, mais il ramassa un caillou. Il me semble que les cailloux ne font pas encore office de monnaie mais bon, observons. Après j'ai cru entendre des mots sortir de sa bouche, surement mon imagination, mais contre toute attente de ma pars, la vendeuse accepta la pierre. Faudra qu'elle aille voir un opticien un jour quand même, parce que là sa devient grave, et le pire, c'est qu'il me semble qu'elle lui est rendu la monnaie. A votre avis, combien peut on rendre de monnaie sur un caillou de forme rectangulaire et plat ? Ben moi j'en ai pas la moindre idée. Le type nous tendais nos boissons que j’acceptai volontiers.

- Dépêcher vous, mon petit tour ne durera que 5 minute, ont ferraient mieux de sortir d'ici.

Il ne me fus pas longtemps pour comprendre, il avait créé une illusion pour tromper la vendeuse. Alors les mots que je l'ai entendus prononcer, était surement le nom de sa technique. Sa peut devenir intéressant, sa pourrait être un adversaire de taille.

* J'ai bien envie de le disséquer celui-la *

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Shirokaz Kôzuki

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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyVen 27 Juil - 20:42

Cholan avait réussi à berner la vendeuse à l'aide d'un petit tour de passe-passe... Ou pas en fait. Ce n'était pas un simple petit tour de magie. C'était son pouvoir. Les illusions, ça le connaissait. Et c'était marrant n'empêche, de voir comment il l'avait eue en utilisant un simple gros caillou somme monnaie. En tout cas, grâce à ça, il avait réussi à gagner un peu d'argent. Il commença à se diriger vers la sortie en nous incitant à le suivre, mais je restai là à regarder la jeune femme mystérieuse que j'avais bousculé et dont les clopes avaient été mouillées par mon coca. Je m'approchai d'elle et lui tendis une clope de mon paquet de Lucky Strike, avec le sourire. Il fallait bien que je fasse le minimum, même si je n'avais pas fait exprès. Je lui rembourserai moi-même ses cigarettes, même si son regard de tueuse visait mon frère en particulier. Bah tiens ! Facile. Je n'avais qu'à chiper l'argent que Cholan avait gagné malhonnêtement je dirais, même si ça partait d'une bonne intention, pour prendre un paquet de clopes à la jeune fille. Et voilà, c'était réglé. Je lui fis signe de venir, si elle voulait, pour éviter les ennuis, et je rejoignis mon frangin. Je lui sautai sur le dos, puis en redescendant, je glissai une main dans sa poche et en sortis de l'argent.

« C’est pour la miss, là-bas. »

Je me dirigeai vers le bureau de tabac le plus proche et achetai un paquet de Camel pour la jeune demoiselle. Je repartis la voir et le lui tendis. J'ouvris ensuite ma boisson, en bu quelques gorgées et demandai à la jeune fille si elle voulait se joindre à nous, parce qu'on allait sûrement faire un truc ensemble en cette belle journée, et je fis également signe à l'homme en blouse blanche de venir aussi. Je suis un grand sociable, et j'aime bien faire de nouvelles rencontres. En plus ça serait bien de connaitre tout le monde dans cette simple petite île. Enfin, simple, c'était vraiment peu dire, parce qu'elle n'avait presque rien de simple, si ce n'est rien. Elle comptait des gens tous aussi bizarres les uns que les autres, ou plutôt, normaux, de mon point de vue, parce que j'étais comme eux. Et ça serait bien si, en plus de connaitre les gens de l'île, on pouvait connaitre aussi leurs pouvoirs. Mais ça, c'est plus faisable en combat qu'autre chose. Parce que c'est pas évident d'aller voir un inconnu, lui demander comment il s'appelle et lui dire "plz tu peux me montrer ton pouvoir ?". Vent assuré. Ou alors tu passes pour quelqu'un qui a tout sauf du tact.
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Katherine Andersen
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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyVen 10 Aoû - 18:36

Episode 2 « Yeah it's holding me, morphing me and forcing me to strive. »

Une fois tous les éléments en main, je me détends, en laissant tomber mes bras le long du corps. Le nombre approximatif de personnes autour de moi, leurs brèves descriptions physique gravée dans ma cervelle. Les sons, les visages, les odeurs. J'avais l'habitude de noter ce genre de détail ... Même si, je sais pertinemment que je ne risque rien sur cette île. Être en cavale a toujours fait partie de mon quotidien et m'en défaire serait encore plus complexe que de m'arracher les yeux.

- Hoya hoya ... bon je vais régler sa ...

Je retiens un grognement au son de sa voix, je déteste le bruit, encore moins les propos inutiles. En quoi annoncer ce que l'on va faire changerais quelque chose à nos actions futures, à part perdre du temps et de l'énergie ? C'est vrai que ces derniers ont été méticuleusement préservés lors de mes missions, car ne pas y tenir compte pouvait me conduire directement dans un cercueils, sans retour possible. Arf, c'était le genre de choses que je ne comprendrais jamais. Comment ils appelaient ça, les autres ? La communication il me semble. Prononcer une phrase inutile pour qu'une tiers personne la complète avec une autre encore plus stupide et un si de suite ... tout ça pour éviter de paraitre; étrange, suspect et entrer dans le moule. Laissez-moi rire.

Le schtroumpf se dirige vers la mini boutique où j'ai acheté mes clopes quelques minutes plus tôt, après avoir ramassé une pierre sur le sol. Je hausse un sourcil en observant, pour la première fois, un comportement qui est hors de ma portée ... un geste que je n'ai pas prévu. Ou bien est-ce seulement le fait qu'un cailloux de cette taille se trouve dans le hall d'un centre commercial ? Dans tous les cas, je suis des yeux la touffe bleue, monopolisant toute mon attention sur ses actions.

Le garçon murmure des paroles incompréhensibles, probablement dans une langue que je n'ai pas étudiée avant de s'entretenir avec la vendeuse et de lui tendre la pierre. Intéressant. La petite cruche ne se rend pas compte de ce qui lui avait été réglé et empoche le cailloux avant de rendre la monnaie. Le prodige s'approche, tend les boissons aux deux autres jeunes hommes, avance vers la sortie et s'écrit tout en observant Frankenstein :

- Dépêcher vous, mon petit tour ne durera que 5 minute, ont ferraient mieux de sortir d'ici.

Discours encore et toujours inutile. Le simple fait de le voir sortir, après l'avoir vu payer ... disons, pierre au lien de cash, nous aurais mis la puce à l'oreille. Apparemment pas ... J'ai de plus en plus l'impression que les gens ici ont une certaine attirance envers le son de leur voix.

Une douce odeur me caresse les narines provenant d'un groupe de gamins à l'autre bout de la salle, cette malicieuse fumée qui se propageait. Avec toute cette agitation, j'ai négligé le pourquoi je n'étais toujours pas rentrée chez moi : mes cigarettes trempées. Une alarme retentit au plus profond de mon être : une gêne, qui n'était autre que le regard doré de coca. Oui, je donne des surnoms étranges, mais c'est plus simple après à analyser. D'habitude, j'utilise des numéros, mais j'ai envie de changer pour une fois.

Ce dernier me tend une de ces clopes, une Lucky Strike visiblement. Un débat intérieur eu alors lieu : Tendre ou non le bras et accepter sa cigarette. Mon geste peut très bien être interprété comme désespéré ... sans compter que j'aurais une dette à son intention après cela. Finalement, j'attrape la tige et l'allume d'un geste rapide. C'est bien son coca qui a foutus en l'air mes clopes, donc je ne lui dois rien. Les mains dans les poches, je profite de cette douce sensation, masquant un maximum possible la reconnaissance sur mon visage en lançant un regard assassin à schtroumpf.

C'est alors que coca me fait un signe de les rejoindre, une parfaite illustration de ce que la plupart des gens de cette planète devraient faire, des signes. Simples, mais efficaces ... Même si j'ai plutôt l'impression qu'il ne l'a pas fait exprès. Quelques contactes humains et un murmure adressé à l'autre garçon et il se dirige vers un bureau de tabac un peu plus loin et en ressort avec un paquet de Camel qu'il me tend. Je lève un sourcil au ciel avant de l'attraper, comme un dédommagement. Il avait l'air très proche de schtroumpf ... il était probablement son compagnon, ou bien tout simplement de sa famille.

C'est alors qu'il me demande se me joindre à eux. J'avais donc le choix : retourner chez moi m'exiler pendant le reste de la journée, mes cachets achetés, ou bien enfiler encore un de ces masques pervers et prétendre que la vie est belle afin de me faire des connaissances. Étonnamment, j'avais envie de faire les deux ... un peu d'action ne me ferais pas de mal. J'accepte d'un hochement de tête, avant de sortir le paquet fraichement acheté et d'en sortir une cigarette que je lui tends. Certes, une Camel de vaux pas une Lucky Strike, mais c'est mieux que rien. Je l'ai déjà dit, je déteste les dettes.

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Dernière édition par Katherine Andersen le Mer 24 Avr - 13:53, édité 2 fois
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Cholan Kôzuki

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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyLun 13 Aoû - 21:32

Il y avait beaucoup de monde ... enfin oui normal me direz vous qu'il y est du monde dans un centre commercial, mais la je voulais dire autour de moi, pourquoi je les avais aider et non pas tous rendu fou à l'instant ? Hum ... je ne sais pas, peut-être que je m'ennuis et que je me dit qu'il seront d'un quelconque intérêt ? ... Surement pas, en vérité j'étais fier de les avoir épatés avec mon petit tour, tout le monde semblait surpris enfin sauf mon cher frère qui lui avait l'habitude de me voir jouer avec les gens de cette manière.

La jeune femme était apparemment rester placide à mon intervention, extérieurement en tout cas, mais pour l'homme à lunette c'était tout à fait différent, j'avais sentis son excitation à l'idée d'un combat et son envie de me trancher la gorge était venu me caresser la nuque alors que je marchais vers la sortie, moi aussi j'avais très envie de le tuer, je voulais voir si malgré son look de savant fou, je réussirais à dominer son esprit. Un grand sourire ornait ma bouche quand je me posa à côté d'une fontaine juste à côté de la sortie attendant les autres. Si j'avais l’occasion de me battre contre ce type alors je voulais bien rester en la compagnie des autres et puis mon frère était la donc sa ne serais pas un calvaire énorme.

Les voila qu'ils étaient arrivés tous avec leur boisson fraîchement payer de mon caillou à la main, je n'avais pas utiliser une illusion très puissante pour que la vendeuse remarque au bous d'un moment le caillou ... pourquoi ? et bien vous aller bientôt le savoir. Sortant du centre commercial cinq hommes en costard noirs à cravate avec une insigne sécurité suivit d'une plaque en plastique avec leur nom partait à notre recherche. Voila qui allait mettre un peu d'action ... enfin peut être, je leur adressais un grand signe de la main pour qu'ils ce dirige vers nous ... chercher la confrontation moi ? Ouais absolument.

Le plus grand, un homme a la peau certainement rendu orange par des tonne de séance d'UV et des lunettes de soleil noir s'approcha de nous en premier, je put lire sont insigne "Roby" on aurait dit le nom parfait pour un type de la sécurité ou un garde du corps. Il nous adressa la parole d'une voix caverneuse.

-Vous êtes accuser d'avoir abuser d'une caissière, rendez la somme voulu et nous n’aurons pas à nous énerver.

Ah ! mais sa n'allait pas, moi je voulais qu'ils s'énervent ! Avant que les autres n'est réussi à en placer une je me décida de répondre à l'homme pour déclencher les hostilité, mon ton était très sarcastique.

-Ce n'est pas ma faute, si vos caissière ont toute le QI d'une huître, et au faite votre nom c'est vraiment Roby ou vous l'avez acheter pour faire genre "je suis une brute sans cervelle ?"

Et si vous posez la question oui j'étais fier de moi, je vis l'homme devenir rouge de colère à vu d'oeil, ce genre de raillerie marchait toujours pour énerver les gens.
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Shirokaz Kôzuki

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MessageSujet: Re: Du shopping moi ? Bah ouais [Libre]   Du shopping moi ? Bah ouais [Libre] EmptyLun 25 Fév - 15:11

J'acceptai avec plaisir la Camel tendue par la jeune fille. C'est pas tous les jours qu'on me propose des clopes. Les gens d'habitude, c'est tous des radins. Pas cette fille. C'est incroyable... Quelqu'un de différent ! Quoi, je m'égare ? Ah. Oui. C'est vrai. Je lui ai acheté moi-même ce paquet. Et je lui ai filé une Lucky Strike juste avant aussi. Donc ça se trouve elle m'aurait pas tendu la clope si j'avais pas fait ça. Je soupirai intérieurement. Si, si, c'est possible. Les gens intelligents sont ceux qui ont deux soi à l'intérieur d'eux. J'ai deux moi à l'intérieur de moi. Donc, je suis intelligent. CQFD. J'invente pas ! J'ai lu ça quelque part. Je suis pas con ! Non, j'ai pas lu quelque part que je n'étais pas con. Pourquoi vous faites les cons là ? Pour vous rabaisser à mon niveau ? PFFFFF. N'IMPORTE NAWAK. Ok, j'arrête.

En sortant du centre commercial, cinq hommes en costard noir à cravate, avec l'insigne de sécurité à côté d'une plaque en plastique avec leur nom se dirigeaient vers nous. Serait-ce un désabrutissement de leur part, ou du moins, de la part de mademoiselle - madame, excusez-moi si vous êtes mariée, mais vu votre tête ma "jolie"... - la caissière blonde. Je pensais pas que les blondes pures étaient capables de se rendre compte qu'un caillou dans la caisse, c'est pas normal. J'arrête d'être méchant et je vais essayer de me concentrer sur ce qui se passe en ce moment-même. Ça, c'est ce que je me suis dit juste avant que Cholan provoque le plus menaçant d'entre eux.

« Ce n'est pas ma faute, si vos caissière ont toute le QI d'une huître, et au faite votre nom c'est vraiment Roby ou vous l'avez acheté pour faire genre "je suis une brute sans cervelle ?" »

Ça m'étonne pas de toi mon grand. Mais le temps c'est le temps, impossible de le rallonger, fallait qu'on profite de la journée entière. Ce n'est pas "cinq brutes sans cervelle" - pour reprendre le terme de mon frère - qui allaient nous faire perdre notre temps. J'essayai de rattraper le coup. Et puis abuser d'une caissière ça veut dire la violer lui faire des enfants sans son consentement. Bref.

« Veuillez excusez mon frère, vous savez, il ne peut s’empêcher d’être réaliste. Ceci dit, vous n’avez aucune preuve. Nous sommes donc innocents. Arrivederci ! »

Je tirai Cho' par le col. Pauvre de lui. Son air tristounet exprimait toute la joie qu'il a perdu lorsque j'ai fait en sorte d'éviter la baston avec ces gros baraqués. Une prochaine fois, mon coco. Là, faut qu'on profite de notre journée.

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